Ce four construit en 1855, et restauré entièrement entre 2004 et 2009, servait à calciner la pierre calcaire pour la transformer en chaux. Il a probablement servi à la construction des deux viaducs voisins ainsi qu’à d’autres travaux à proximité : ponts, tunnels, fermes etc.
La visite guidée permet de pénétrer dans le site et d’y découvrir
le procédé de fabrication de la chaux et ses utilisations.
Le trouver :
Lieu-dit Claricot,
Rond point de la Chicotière, RD 306 (ex RN 6)
04 78 43 52 07 (mairie)
araped69@free.fr
Visites guidées gratuites pour individuels toute l'année sur rendez-vous
Ce four de ferme a bien failli disparaître, affaissé par les fuites de sa toiture.
Il était grand temps qu’ARAPED le restaure, en 2017 pour le ré-installer dans la vie du village.
Cette renaissance fut inaugurée lors de la PREMIÈRE FÊTE DU PAIN de DOMMARTIN le 10 mars 2018 qui est appelée à se renouveler chaque année.
Le trouver (site accessible en permanence et visite sur demande) :
1702 Route des Bois
Association ARAPED
04 78 43 52 07 (mairie)
Edifié vers le milieu du XVIIIème siècle, c’était le four utilisé par les hameaux de Lévy et de Morillon. En 1999, les bénévoles de l’association « Eveux et son patrimoine » aidés par la municipalité entament une restauration exemplaire de l’édifice : reconstruction de la sole et de la voûte, nouvelle toiture, mise en valeur des abords… Depuis, le four fonctionne à l’occasion de quelques manifestations locales.
Prix du Patrimoine du Conseil Général du Rhône en 2000, catégorie associations
Le trouver : Le four est visible en permanence le long de la route départementale 70 A, au hameau de Lévy.
Le trouver :
Parc du château du Chêne
69210 Fleurieux-sur-l’Arbresle
Du 01/01 au 31/12, tous les jours.
Extérieur en accès libre, intérieur sur demande.
Plantée à la limite des communes de Sarcey, le Breuil et Légny, c’est une pierre de un mètre de hauteur portant sur la face Est le blason des Faverges, seigneurs du Breuil, et sur la face Ouest les armes de François d’Albon abbé de Savigny de 1493 à 1520.
La trouver : Récemment restaurée, elle est visible sur un chemin de randonnée (carrefour dénommé « La borne »), près d’une petite route qui relie les hameaux de Billy et du Curet.
Installée sur le pont de la Turdine, lors de sa construction vers 1740, était surmontée d'une croix détruite pendant la Terreur. La borne et le dé de la croix furent récupérés par le propriétaire du moulin situé au pied de ce pont et offerts aux Amis du Vieil Arbresle qui la réinstallèrent près du mur d'enceinte médiéval, non loin du pont.
Sur la borne est gravé le message suivant: "Grand chemin de Paris à Lyon"; le grand chemin est alors un des noms de la Voie Royale qui relie Paris au sud de la France et qui deviendra sous Napoléon 1er : la Route Nationale 7. Une fleur de lys sur le dé confirme qu'il s'agit de la voie royale.
La tradition orale raconte que cet arbre vénérable serait un des innombrables tilleuls plantés en France au début du XVIIème siècle sur l’ordre de Sully.
Le trouver : Visible au centre du village.
C’est un vestige spectaculaire d’une voie ferrée inachevée qui devait relier L’Arbresle à Pannissières et dont la construction a été définitivement interrompue pendant la première Guerre mondiale.
Le trouver : Visible de la petite route qui conduit au hameau des Garinnes, à partir de la RD 91.
L'Arbresle possède encore une dizaine de tourelles; les plus anciennes sont rondes comme celle de l'auberge des Trois Maures, les autres sont hexagonales ou octogonales. Ces tourelles renferment un escalier en colimaçon en pierre dorée pour la plus part qui permet d'accéder aux différents étages ou corps de bâtiment grâce à des loggia comme à la maison dite de Jacques Coeur. La dimension de la tourelle peut indiquer aussi l'importance matérielle du propriétaires.
Elles se trouvent dans des maisons de notables comme les maison de Valous, d'Odieux ou de Jacques Coeur ou dans des auberges comme celle des Trois Maures (quartier St Julien, rue Michelet) ou de
la Tête Noire (visible de la rue voltaire) et peut être celle de l'impasse des Mures.
Sur les anciennes cartes postales des années 1900, on le nommait « bolide » ou « aérolithe », comme s’il était tombé du ciel ! Ce roc de granite rose qui trône au pied du donjon du XIème siècle, est en fait un bloc trouvé près de L’Arbresle lors du percement des tunnels de la ligne ferroviaire au XIXème siècle.
Le trouver : Visible du portail du collège Champagnat, derrière l’église.
Stèle Claude Terrasse : Cette stèle, inaugurée en 1928 par Edouard Herriot et Pierre Bonnard est l'oeuvre du sculpteur Jules Desbois. Le médaillon a été réalisé en trois exemplaires: un est au Célestins, le second sur son monument funéraire et le troisième dans le Parc du Souvenir Français de l'Arbresle. Claude Terrasse est né dans la maison en face de ce parc. Il est notamment le compositeur de la musique d'Abu Roi d'Alfred Jarry et de bien d'autres. Dans les années 1900, il amuse le Tout-Paris.( voir grands hommes)
Stèle André Lassagne : Cette stèle a été sculptée par Michel Lapandéry également réalisateur de la fontaine de la place Sapéon et du monument dédié aux frères Lumière, à Lyon. André Lassagne est un des membres majeur de la résistance. Après avoir arrêté avec Jean Moulin en 1943 puis torturé, de retour des camps, il est élu conseiller municipal de Lyon, vice-président du conseil général du Rhône, sénateur et membre délégué au Conseil de l'Europe. Décédé en 1953, il est enterré dans le vieux cimetière de L'Arbresle. Une rue, une école et une stèle porte son nom à L'Arbresle.
Stèle Barthélémy Thimonnier : A l'occasion du 200ème anniversaire de la naissance de Barthélémy Thimonnier à L'Arbresle, en 1993, la mairie et le Comité Thimonnier ont fait
ériger une sculpture en souvenir de cet inventeur de la machine à coudre, sur la place Pierre Marie Durand, devant l'Hôtel de Ville. La sculpture représente un oiseau et une aiguille: l'oiseau
est l'imagination, l'invention et l'aiguille symbolise la machine à coudre.
Stèle Pierre-Marie Durand : Né en 1861 , rue de Paris à l'Arbresle, grâce à son génie des affaires, il devient l'un des plus gros producteur d'électivité de France entre les deux
guerres et l'un des hommes les plus riches de notre pays. A sa mort, en 1951, il donne un quart de sa fortune à sa ville natale. Notamment, grâce à cette manne, la municipalité créera cette place
devant la mairie a qui elle donnera son nom et fera ériger un monument agrémentée de son buste en souvenir de cette généreuse donation.
Bâtie en briques, cette curieuse tour carrée en encorbellement domine les voies ferrées qui partent de L’Arbresle en direction de Lyon. Construit à la fin du XIXème siècle, ce poste d’aiguillage type « Saxby » a fonctionné jusque dans les années 1990.
Le trouver : Visible de la gare et de la route Napoléon qui monte vers le cimetière de L’Arbresle.